Le lac Lyster possède une eau de très grande qualité, ce qui fait de lui l’un des meilleurs dans notre région. Dans le but de conserver cette bonne qualité d’eau, la Ville de Coaticook souhaite déposer une demande à Transport Canada afin d’apporter des modifications à la réglementation en vigueur. Une période de consultation a déjà eu lieu à l’été 2024 à l’aide d’un sondage. Par la suite, une séance d’information et de consultation a eu lieu au mois de mars 2025. 


La Ville vous demande de vous exprimer sur deux options qui sont préconisées par la municipalité suite aux différentes consultations. Ces options visent le respect de l’environnement, de la sécurité et de l’intérêt public. Il s’agit de la dernière consultation avant le dépôt de la demande à Transport Canada.

Les conditions pour répondre au sondage sont les suivantes :

– Être âgé de 18 ans et plus.

– Être un utilisateur du lac Lyster.

– Avoir le meilleur intérêt du lac.

– Faire preuve d’intégrité et répondre qu’une seule fois au sondage.


Ce sondage sera ouvert jusqu’au dimanche 13 juillet à midi et consiste en la dernière étape du processus de consultation.

Réglementation actuelle :

Réglementation projetée :

Option 1 : 10 km/h sur tout le lac

Option 2 : 50 km/h à plus de 200 m des berges et 10 km/h pour le reste du lac. Les sports tractés et le surf sur le sillage est interdit dans la zone de 10 km/h.

Merci de nous donner votre avis !

sondage

 

La Ville de Coaticook encourage l’économie de partage en offrant un abonnement gratuit à 100 citoyens via l’application Partage Club.

Pourquoi acheter quand on peut emprunter ?

Partage Club permet à ses utilisateurs de prêter et emprunter des objets entre voisins de façon simple, sécurisée et gratuite. Que ce soit pour une soirée raclette, un projet de rénovation, un voyage ou une fête d’enfants, vous pouvez accéder à tout ce dont vous avez besoin sans l’acheter.

En plus de réduire la consommation et les coûts, cette initiative :
 ✔ Favorise les échanges humains
 ✔ Réduit l’encombrement
 ✔ Diminue l’impact environnemental
 ✔ Soutient une économie circulaire locale

Comment ça fonctionne ?

  1. Téléchargez l’application Partage Club
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Foire aux questions                                                                                                            

Q : Comment activer mon abonnement Partage Club?

R : Voici la marche à suivre :

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Q : Y a-t-il des abonnements pour tous les citoyens?

R : 100 abonnements gratuits sont disponibles pour les citoyens. Premier arrivé, premier servi!

 

Q : J’ai un problème dans l’application, un bogue ou un souci avec un de mes prêts en cours.

Contactez l’équipe Partage Club par courriel à support@partage.club ou via la messagerie dans l’application. À partir de votre profil, cliquez sur Aide. 


Q : Si un de mes objets est brisé, que puis-je faire?

R : Avec votre abonnement, vous bénéficiez de la Responsabilité Partage Club. Si un dommage survient à vos objets d'une valeur de 25 $ ou plus pendant un prêt, Partage Club s’engage à vous dédommager jusqu’à 300 $ par an.

Vous pouvez contacter l’équipe du service aux membres à support@partage.club 


Q : Si je ne demeure pas à Coaticook, puis-je devenir membre?
R : Vous pouvez vous créer un compte et devenir membre. Par contre, la promotion est réservée aux citoyens de Coaticook. Après l’essai gratuit de 3 semaines, vous devrez payer 8$/mois ou 60$/année pour continuer d’emprunter des objets gratuitement.

Objectifs du concours

✓ La qualité de vie — Améliorer le cadre de vie.

✓ L’attractivité — Encourager le tourisme, l’économie et le développement résidentiel.

✓ L’écologie — Valoriser et protéger l’environnement.

✓ Le lien social — Favoriser la participation et l’intégration.

✓ Encourager, reconnaître, remercier l’effort horticole et écologique des citoyens.

 

Règlements du concours

Article 1 : Conditions

Ce concours est placé sous le signe de l’embellissement du cadre de vie dans le respect du paysage et de l’environnement. Il est ouvert à tous (sauf aux professionnels, horticulteurs, paysagistes, fleuristes, élus). Il est gratuit.

Article 2 : Inscriptions

Pour participer au concours, les résidents doivent obligatoirement s’inscrire avant le 15 juin en remplissant le document en ligne prévue à cet effet. Des fiches d’inscription seront disponibles à l’hôtel de ville et au Jardin des Trouvailles à partir du 30 mai. Vous devez faire parvenir votre fiche à Claudia Charron, chargée de projets en environnement de la ville de Coaticook par courriel c.charron@coaticook.ca ou au 150, rue Child, Coaticook. Les inscriptions qui auront lieu suivant le 15 juin ne seront pas acceptées.

Du 15 au 30 juin, les personnes inscrites pourront aller chercher un sac de paillis de cèdre Valfei de 85 litres ainsi qu’un bon de 10 $ JDT au Jardin des Trouvailles.

Article 3 : Catégories proposées

✓ Résidentielle (4 sous-catégories)

✓ Balcon (paniers suspendus, boîtes à fleurs, végétaux en pots)

Article 3.1 : Prix coup de cœur du public

Les participants au concours « Fleurissons Coaticook » peuvent choisir de s’inscrire au prix coup de cœur du public, ils acceptent ainsi que leur adresse postale soit diffusée publiquement. Le public sera invité à voter sur un formulaire en ligne pour leur participant coup de cœur. Pour être déclaré « coup de cœur du public », le gagnant doit avoir obtenu le plus grand nombre de votes du public et avoir une note des juges de 70 % et plus.

Article 4 : Organisation

Le comité d’organisation du concours de la municipalité enregistre les inscriptions et organise le jury.

Pour permettre le renouvellement des candidats, les lauréats des premiers prix deviennent hors concours lors des deux éditions suivant la remise de leur prix.

Article 6 : Composition du jury

Le jury est composé d’une personne de chez Valfei, d’une personne des Lions, de deux personnes du CRIFA et d’une personne provenant de la Ville de Coaticook. Le but étant de créer un jury diversifié et complémentaire.

Article 7 : Visite du jury

Les visites se feront dans la semaine du 18 août 2025.

 

 Les critères d’évaluation des aménagements paysagers

Le comité d’organisation coordonne le concours « Fleurissons Coaticook ». Quelle que soit la catégorie, le jury cherche à apprécier l’embellissement du cadre de vie des personnes inscrites au concours. L’embellissement floral et végétal est un élément essentiel d’appréciation, toutefois la note privilégie la qualité plutôt que la quantité.

L’évaluation des candidats porte sur les critères suivants :

1. Composition paysagère et associations végétales

Choix varié de végétaux et de plantes adaptés aux spécificités de la région, recherche d’originalité dans les compositions, bonne intégration dans l’environnement. Plantes en bonne santé et bien entretenues. Équilibre et harmonie dans les couleurs, volumes et surfaces. (30 points) 

2. Pérennité des compositions

Recherche de l’intérêt décoratif toute la saison estivale. (10 points)

3. Propreté et état d’entretien et mise en valeur de l’environnement

Entretien général de l’espace et mise en valeur de l’environnement : allées, pelouse, végétaux, haies, clôtures, murets, mobilier de jardin, pots, jardinières. Intégration harmonieuse des matières inertes sur le terrain (30 points)

4. Mise en place de techniques alternatives

Dans l’optique d’une meilleure prise en compte de l’environnement, les points suivants sont pris en considération : paillage, plantes, couvre-sol, plantes bien adaptées aux contraintes climatiques et absence de plantes invasives. (5 points)

5. Intégration de plantes comestibles

Ajout de plantes comestibles dans les aménagements. (5 points)

Les prix

Les prix offerts sont d’une valeur de 100 $ par catégorie. La personne gagnante dans chacune des catégories se verra offrir 100 $ en bons Rues principales. C’est tentant, non ?

Bon concours !

 

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Voici la Politique environnement de la Ville de Coaticook adopté en avril 2025

La Patrouille environnementale: Assurer la protection de l’environnement à la ville de Coaticook et au lac Lyster

 

La patrouille environnementale est de retour à la ville de Coaticook pour la saison estivale de 2025 ! À l’instar des années précédentes, une équipe de stagiaires dévouée sera chapeautée par Claudia Charron, chargée de projet en environnement pour la ville. Celle-ci sera déployée sur le terrain afin de contribuer à la protection durable de l’environnement à Coaticook. La diversité des mandats couverts par la patrouille 2025 permet une présence accrue, essentielle au maintien de la qualité de l’environnement sur le territoire de la ville.

Présentation de Cassandra

Cassandra est titulaire d’un baccalauréat en relations publiques à l’Université du Québec à Montréal. Son parcours professionnel a débuté dans la concertation et le transfert des connaissances, ce qui lui confère une vision très proche des citoyens et de leurs préoccupations. Actuellement étudiante à la maîtrise en environnement à l’Université de Sherbrooke, ces principales compétences se trouvent dans l’élaboration de communications environnementales, la rédaction et l’aisance avec les divers outils informatiques.

Ma motivation

Passionnée par la protection de l’environnement, je me lance à pieds joints à l’équipe de la patrouille environnementale 2025. Considérant mes connaissances en communication, je suis grandement motivée par l’aspect d’information et de sensibilisation à des pratiques durables, une tâche dans laquelle je suis confortable. Toutefois, je souhaite me dépasser et m’éloigner de ma formation initiale en accomplissant le défi de réaliser des tâches sur le terrain.

 

Présentation de Jean-Jacques

Jean-Jacques Marc est un ingénieur-agronome spécialisé dans la production animale et la gestion des ressources halieutiques, avec un parcours professionnel riche et diversifié. Il est titulaire d’un master de l’Université de Liège en Belgique et actuellement étudiant à la maîtrise en environnement de l’Université de Sherbrooke. Il a occupé des postes clés tels que Fishing & Aquaculture Manager, où il a supervisé des projets de pêche et d’aquaculture, et superviseur environnemental. Ses compétences incluent la gestion de projets, la formation technique ainsi que la conservation des ressources naturelles.

Ma motivation

Passionné par la protection de l’environnement, j’ai acquis une expertise en gestion des ressources naturelles, des matières résiduelles et en sensibilisation écologique. Mes expériences incluent la formation de communautés à des pratiques durables et respectueuses des écosystèmes. Rigoureux, adaptable et doté d’un bon leadership, j’agis concrètement pour l’environnement.

 

Mandats de la patrouille environnementale

La patrouille environnementale occupera une grande variété de mandats tout au long de l’été 2025. Elle contribuera à la lutte contre les espèces exotiques envahissantes et à la protection de la biodiversité faunique et floristique à travers des inventaires et suivis sur le territoire. La gestion durable de l’eau, incluant la qualité de l’eau potable, l’inspection de gouttières, la protection des bandes riveraines et la réduction de l’érosion, constitue un autre axe majeur.

La patrouille jouera aussi un rôle actif dans la sensibilisation des citoyens sur les divers enjeux environnementaux. Enfin, elle participera à la recherche, à l’analyse réglementaire et à l’appui aux politiques environnementales locales, contribuant à une gouvernance environnementale plus rigoureuse.

La patrouille sera grandement sollicitée tout au long de la belle saison !

 

Joindre la patrouille

Contactez la patrouille environnementale par courriel au patrouillebleue@coaticook.ca ou par téléphone au 819-571-7134

Pour connaître les actualités environnementales de la ville de Coaticook, suivez notre page Facebook

Cassandra Bois

Jean-Jacques Marc

Patrouilleurs pour la Patrouille environnementale 2025

 

La Ville de Coaticook a mis en place une station de lavage automatisée au lac Lyster lors de la saison estivale 2023. C’est avec plaisir que nous annonçons sa réouverture pour la saison estivale 2025. Cette mesure vise à contrer la propagation d’espèces aquatiques exotiques envahissantes (EAEE) dans le lac. Considérant que le myriophylle à épis a déjà été introduit dans cet écosystème, il est plus que primordial d’y accorder une attention particulière. Plusieurs EAEE ont été observées dans les plans d’eau et cours d’eau de la région, dont la moule zébrée. Le lavage des embarcations est un des moyens de se prémunir contre cette menace.
La carte magnétique vendue à un prix avantageux, vous permettra d’activer la station de lavage lors de toute la période estivale 2025.

Pour l’utilisation de la station de lavage pour les résidents, une carte magnétique est nécessaire et permet d’activer la station de lavage. Celle-ci est disponible au coût suivant :

Tarification saisonnière de la station de lavage pour les résidents pour la saison estivale 2025

Embarcation sans remorque

Embarcation avec remorque

20 $

35 $

Carte magnétique supplémentaire : 10 $

Autocollant : 2 $

 

Tarification de la station de lavage pour les non-résidents pour la saison estivale 2025

Pour les non-résidents, aucune carte magnétique n’est nécessaire. Ceux-ci peuvent payer directement sur la borne à la station de lavage et conserver le code QR qui leur sera imprimé.

Durée d’utilisation

Embarcation sans remorque

Embarcation avec remorque

Journalier

5 $

40 $

Hebdomadaire

20 $

120 $

Saisonnier

80 $

200 $

 

Toute embarcation mise à l’eau à la rampe de mise à l’eau municipale doit être lavée préalablement à la station de lavage, même si cette embarcation n’a pas été utilisée sur un autre plan d’eau que le lac Lyster. Le lavage de l’embarcation à la sortie du lac est également exigé.

La carte magnétique doit être achetée au préalable, elle n’est pas disponible à la borne de vente de la station de lavage. De plus, cette carte est disponible seulement pour les résidents de la ville de Coaticook.

La définition de résident est la suivante : personne qui réside sur les lieux de la municipalité (il n’y a pas de distinction entre résidence primaire et secondaire). Il est important d’apporter une preuve de résidence lors de l’achat de la carte magnétique pour les résidents.

Afin de vous procurer une carte magnétique, la ville organise des journées de ventes au 151 chemin des chalets à Baldwin. 

Voici l'horaire pour vous procurer votre carte:

  • 6, 7 et 8 mai de 13 h-15 h 30
  • 17 et 18 mai de 10 h-15 h 30
  • 21—22 juin de 10 h-15 h 30
  • 28 juin de 10 h-15 h 30

Les méthodes de paiement acceptées sont les chèques, les virements Interac ou l’argent comptant. Veuillez noter qu’il est important de conserver votre carte de la station de lavage pour les années suivantes.

Si vous n’avez pas encore eu la chance de vous procurer votre carte, vous pouvez communiquer avec la patrouille environnementale au patrouillebleue@coaticook.ca.

Pour prévenir l’introduction de nouveaux organismes dans les plans d’eau visités, il est important de nettoyer toute embarcation avant de la mettre à l’eau. La décontamination d’une embarcation, de la remorque et de l’équipement utilisé doit suivre les 3 étapes suivantes :

  1. Inspectez et jetez

Procédez à l’inspection de l’embarcation, de la remorque et du matériel mis à l’eau. Plante, boue, organisme et résidu visible doivent être retirés. Disposez des résidus dans une poubelle. Une attention particulière doit être accordée à la coque, à la cale, au moteur et au vivier.

  1. Drainez

Videz toute l’eau de l’embarcation (ballasts, cale, vivier, moteur, caisson, etc.). Évitez que l’eau drainée ne s’écoule pas vers le plan d’eau.

  1. Nettoyez

Nettoyer l’embarcation à l’aide de la laveuse à pression, la remorque et tout l’équipement qui a été en contact avec l’eau.

Répétez les étapes de décontamination des embarcations entre chaque visite d’un plan d’eau.

Le lac Lyster fait la fierté des Coaticookois. Aidez-nous à prévenir la propagation des espèces aquatiques exotiques envahissantes. Passez à la station de lavage pour décontaminer vos embarcations avant de les mettre à l’eau.

LE LAVAGE DES EMBARCATIONS EST OBLIGATOIRE SUR LE LAC LYSTER.

La Ville de Coaticook vous remercie de votre collaboration.

Pour toute question relative à la station de lavage, veuillez communiquer avec Mme Claudia Charron, chargée de projets en environnement, au 819 849-2721 poste 280 ou par courriel à c.charron@coaticook.ca.

Q : Comment réactiver ma carte magnétique ?
R : Vous devez acquitter les frais annuels auprès de la patrouille environnementale. Quelques dates vous sont proposées en début de saison.

Q : Est-ce que les usagers non-résidents ont besoin d’une carte magnétique ??
R : Non, les non-résidents doivent payer directement à la borne en sélectionnant la passe journalière, hebdomadaire ou saisonnière.

Q : Je ne peux pas me présenter lors des journées annoncées, que dois-je faire.
R : Contactez directement la patrouille environnementale au patrouillebleue@coaticook.ca et ceux-ci vous accommoderont en conséquence.

Q : Si je suis résident de la MRC de Coaticook, est-ce que j’ai le droit au tarif d’usagers résidents ?
R : Non, le tarif de résident est exclusivement réservé aux citoyens de la Ville de Coaticook. La définition de résident est la suivante : personne qui réside sur les lieux de la municipalité (il n’y a pas de distinction entre résidence primaire et secondaire).


Q : Est-ce que je dois laver mon embarcation à chaque fois, même si elle ne va pas sur d’autres plans d’eau ?

R : Oui, toute embarcation mise à l’eau à la rampe de mise à l’eau municipale doit être lavée préalablement à la station de lavage, même si cette embarcation n’a pas été utilisée sur un autre plan d’eau que le lac Lyster. Le lavage de l’embarcation à la sortie du lac est également exigé.

 

 

DES RÉSOLUTIONS POUR L’ENVIRONNEMENT - PARTIE 1

Chers citoyens de Coaticook, le début de la nouvelle année est le moment idéal pour amorcer des changements positifs. Pourquoi ne pas profiter de cette occasion pour adopter des habitudes plus respectueuses de l'environnement et contribuer à la préservation de notre belle région ?

Voici quelques gestes simples pour contribuer à la conservation d’un environnement sain :

  1. Réduire sa consommation d’énergie et d’eau

Adoptez des comportements économes: éteignez les lumières en quittant une pièce, choisissez des ampoules à faible consommation d’énergie, fermez le robinet en vous brossant les dents et en vous lavant les mains, et installez des appareils à faible consommation d’eau. Vous pouvez aussi installer un baril extérieur afin de récupérer l’eau de pluie, idéale pour les usages non potables.

  1. Minimiser l’utilisation de plastique

Réduire votre consommation de plastique est plus facile que vous ne le pensez. Privilégiez la réutilisation : optez pour des articles usagés, achetés en friperie ou via des groupes de vente d'articles de seconde main. Gardez toujours avec vous une bouteille d'eau réutilisable, des sacs en tissu et des couverts réutilisables. Préférez les produits non emballés et soutenez les entreprises qui adoptent des pratiques écologiques. Lorsque le plastique est inévitable, choisissez des produits recyclables.

  1. Adopter une alimentation plus durable

Favorisez les produits locaux, de saison et issus de l’agriculture biologique. En soutenant nos producteurs locaux, vous réduisez l'empreinte écologique liée à l’alimentation tout en soutenant l'économie de Coaticook.

 Suivez notre page Facebook et notre site internet.

 

DES RÉSOLUTIONS POUR L’ENVIRONNEMENT - PARTIE 2

Au début du mois de janvier, nous vous avons incité à prendre des bonnes résolutions pour l’environnement. Voici la 2e partie des résolutions à adopter pour poursuivre dans les bons gestes à mettre en pratique pour contribuer à la conservation d’un environnement sain :

  1. Réduire, réutiliser et recycler

Mettez en place un système de tri à la maison incluant poubelle, compost, recyclage et objets destinés à l’écocentre. De plus, trouvez des moyens de donner une seconde vie aux objets inutilisés en les réutilisant, en allant les porter à un centre de dons ou les offrant en cadeaux plutôt que de les jeter.

  1. Contribuer à la préservation de la biodiversité

Soutenez des initiatives de conservation, luttez contre les espèces exotiques envahissantes, reboisez votre terrain, revégétalisez votre bande riveraine et participez à des actions de nettoyage de l’environnement.

  1. Sensibiliser votre entourage

Partagez vos connaissances sur l’importance de la protection de l’environnement, organisez des activités communautaires et encouragez vos proches à adopter des comportements plus respectueux de l’environnement.

En adoptant ces simples résolutions, vous contribuerez à un avenir plus durable pour notre planète.

 

 

 Les sports hivernaux 

De nombreuses personnes profitent de cette période pour pratiquer leurs sports hivernaux préférés, tels que le ski, la raquette, le vélo, le patin, la randonnée pédestre. Cependant, ces activités sont de plus en plus menacées par les changements climatiques. Il est donc essentiel d’adopter des comportements écoresponsables pour préserver notre accès à ces petits plaisirs hivernaux. 

  1. Faire l’usage d’équipement écoresponsable Avant de vous lancer dans vos activités hivernales, il est crucial de bien vous équiper pour affronter les basses températures. C’est l’occasion parfaite pour soutenir l’industrie durable en optant pour des équipements fabriqués à partir de matériaux écologiques et recyclés. De plus, vous pouvez trouver tout le nécessaire sur des plateformes de vente de seconde main, augmentant ainsi la durée de vie des équipements et réalisant des économies substantielles.  
  2. Favoriser les modes de transport durable  

    Malheureusement, tous les sports hivernaux ne peuvent pas être pratiqués à proximité de chez soi. Il est donc important de choisir des modes de transport durables. Déplacez-vous à pied, utilisez les transports en commun ou faites du covoiturage. Cela diminue grandement les émissions de gaz à effet de serre et par le fait même favorise la possibilité de pratiquer vos sports d’hiver le plus longtemps possible. D’ailleurs, il existe des applications de covoiturage qui facilitent grandement l’utilisation agréable et efficace de ces modes durables.  

    En adoptant ces gestes au quotidien, nous contribuons à la protection de l’environnement.   


 

 

Les sports hivernaux 2.0 

De nombreuses personnes profitent de cette période pour pratiquer leurs sports hivernaux préférés, tels que le ski, la raquette, le vélo, le patin, la randonnée pédestre. Cependant, ces activités sont de plus en plus menacées par les changements climatiques. Il est donc essentiel d’adopter des comportements écoresponsables pour préserver notre accès à ces petits plaisirs hivernaux. 

  1. Choix des stations et hébergement écoresponsable 

Lorsque vous vous rendez à une station ou à un site pour pratiquer votre sport, privilégiez ceux qui s’engagent en faveur de l’environnement. Optez pour des stations utilisant des énergies renouvelables, gérant l’eau de manière durable, et réduisant les déchets et la consommation d’énergie.   

  1. Favoriser les pratiques écoresponsables 

Lors de vos séjours, favoriser les bonnes pratiques de consommation que vous appliquez peut-être déjà chez vous. Notamment, apportez votre nourriture dans des contenants réutilisables et disposez correctement de vos déchets. Consommez l’énergie de façon responsable en limitant l’éclairage et le chauffage à ce qui est nécessaire. Sur place, adoptez de bonnes pratiques telles que le respect des itinéraires balisés pour minimiser l’impact sur la faune et la flore, et veillez à ramasser tous vos déchets. 

En adoptant ces gestes au quotidien, nous contribuons à la protection de l’environnement.   


 

 Standardisation de la récupération 

Le saviez-vous?

Depuis le 1er janvier 2025, des changements ont eu lieu sur la collecte des matières recyclables.  La liste des matières recyclables acceptées dans le bac de récupération est depuis uniformisée et standardisée. Les matières acceptées dans le bac bleu se résumeront à trois grandes catégories : Contenants, Emballages et Imprimés, c’est tout !


 

Consignation

Toutes en plastiques, toutes consignées.

Bonne nouvelle pour l’environnement! Vos bouteilles d’eau, d’eau pétillante et de jus en plastique et toute autre boisson vendue dans un contenant de plastique de 100 ml à 2 l sont maintenant consignées ! Rapportez-les et obtenez un remboursement de 10 cents par contenant.

Pour en savoir plus : https://consignaction.ca/modernisation/ .

 


 

L’impact de l’érosion et de la sédimentation sur la biodiversité


Vous le savez probablement déjà, mais l’érosion peut devenir très problématique. Cependant, vous ne saviez peut-être pas qu’en plus d’endommager les terrains et les infrastructures, ce phénomène affecte également la biodiversité environnante.

Comprendre l’érosion et ses conséquences
L’érosion se produit lorsque des particules de sol, de roche et de tout autre débris sont délogées par la pluie, le vent et divers facteurs comme les travaux de construction. Ces particules, riches en nutriments comme le phosphore et l’azote, sont entraînées par l’eau jusqu’aux lacs et aux cours d’eau de la région.


De l’érosion vers l’eutrophisation des cours d’eau
Toutefois, contrairement à ce qu’on pourrait croire, un excès de nutriments dans l’eau peut causer plus de mal que de bien. Il favorise la croissance des plantes et des algues, réduisant ainsi la transparence de l’eau et augmentant la décomposition qui se fait au fond du lac. Cette décomposition nécessite de l’oxygène (O2), ce qui en diminue la quantité disponible pour les poissons et le reste de la faune aquatique. De plus, la diminution de la lumière qui atteint le fond de l’eau dû à la mauvaise transparence affecte la profondeur à laquelle les plantes — les producteurs d’oxygène — peuvent se trouver. Cela affecte la disponibilité de l’oxygène, des ressources alimentaires et des habitats au fond des lacs. C’est ce qu’on appelle l’eutrophisation.

La survie de plusieurs animaux aquatiques, tels que le touladi, dépend des niveaux d’oxygène, des ressources alimentaires et des habitats fournis par les plantes aquatiques. Ainsi, une érosion excessive entraîne une dégradation de la qualité des cours d’eau et des lacs et détruit de nombreux habitats, ce qui réduit considérablement la biodiversité.


 

Les pollinisateurs : gardiens de la biodiversité

Comme leur nom l’indique, les pollinisateurs sont responsables d’effectuer la pollinisation — une étape cruciale de la reproduction des plantes. Environ 80 % des plantes à fleurs et plus de 75 % des cultures agricoles comptent sur ces petites créatures comme les abeilles, les bourdons et les papillons pour se reproduire.

Le processus de pollinisation expliqué

Pour mieux comprendre le rôle de ces insectes, voici un petit résumé sur le processus de pollinisation :

La plupart des plantes possèdent un pistil contenant les ovaires (les organes reproducteurs femelles) et des étamines contenant le pollen (les organes reproducteurs mâles). Pour que le pollen d’une plante se rende au pistil d’une autre et que la reproduction ait lieu, il doit être transporté par un insecte ou par le vent.

Toutefois, le vent n’est pas très précis et il y a peu de chances que le pollen soit acheminé au bon endroit, il pourrait simplement atterrir sur le sol ou sur une fleur d’une autre espèce ! Les insectes, en se nourrissant des fleurs, font donc le gros du travail pour permettre la fécondation et la reproduction des plantes.


 

Protéger la biodiversité, mais pourquoi

La biodiversité est bien plus qu’un simple concept scientifique — elle est essentielle à notre survie et au bon fonctionnement de notre planète. Dans les écosystèmes qui nous entourent, chaque plante, animal ou micro-organisme joue un rôle bien précis, et leur diversité est cruciale pour assurer la résilience face aux défis, comme les catastrophes naturelles et les changements climatiques.

Résilience des écosystèmes face aux catastrophes

Prenons par exemple les feux de forêt, qui sont malheureusement d’actualités. Après un incendie dévastateur, une variété d’espèces végétales est indispensable pour la reforestation. Certaines plantes sont expertes pour coloniser rapidement les zones brûlées, tandis que d’autres prospèrent dans des conditions plus stables. Cette diversité favorise une récupération rapide et la restauration de l’équilibre écologique. À l’inverse, les écosystèmes dominés par une seule espèce sont plus vulnérables aux catastrophes, car toute perturbation peut entraîner des conséquences dévastatrices que nous voulons absolument éviter !

Rôle de la biodiversité dans les cycles vitaux

La biodiversité est également le moteur des cycles vitaux de la planète, comme celui du CO2 et des nutriments. Dans un champ de monoculture, par exemple, le sol s’appauvrit rapidement, nécessitant des apports massifs en engrais. L’utilisation de pesticides et d’herbicides en grandes quantités pour protéger le champ contre les indésirables est également nécessaire. En revanche, des cultures diversifiées enrichissent le sol naturellement et réduisent le besoin de produits chimiques. Dans une région où le milieu agricole domine, ce modèle, plus résilient, réduit les risques environnementaux et garantit une production agricole plus durable.

Menaces sur la biodiversité

Pourtant, malgré son importance cruciale, la diversité des espèces reste souvent négligée. La pression exercée par notre mode de vie moderne menace des milliers d’espèces et déstabilise nos écosystèmes. Il ne faut pas oublier qu’investir dans la biodiversité ne profite pas seulement à la nature — c’est aussi un investissement dans notre propre avenir. Des écosystèmes sains sont des réservoirs de ressources essentielles pour l’agriculture, la médecine et bien d’autres industries, sans oublier l’importance des milieux naturels dans les différentes activités récréotouristiques à Coaticook !

 

Protéger la biodiversité, c’est protéger notre avenir. Engageons-nous à prendre conscience de son importance et à agir pour la préserver, afin de garantir la santé de notre planète et de ses habitants, préservant ainsi la précieuse beauté de notre région !


 

Plan de protection des sources d'eau potable

La Ville de Coaticook détient cinq puits de captage d'eau souterraine sur son territoire (P1-98, P2-71, P3-82, P4-98 et P5-19). Toutefois, le puits P1-98 n'est plus en service pour l'alimentation en eau potable depuis 2000 car la turbidité de l'eau captée était trop élevée. Toutefois, la Ville de Coaticook utilise à l'occasion ce puits pour le remplissage du camion de nettoyage des rues et parfois celui du camion d'incendie. De plus, le puits P4-98 sera très prochainement remplacé par le puits P5-18 lorsque ce dernier aura obtenu son autorisation d'exploitation. Ainsi, l'analyse de la vulnérabilité a été réalisée pour les sources de prélèvement P2-71, P3-82 et P5-18.
Sites actifs de prélèvement d'eau - P2-71, P3-82 et P5-18
La Ville de Coaticook exploite trois (3) sites de prélèvement localisés au sud du centre urbain, soit :
  • Le site du puits P2-71, localisé à la hauteur du 223, rue Cutting et à environ 78 m à l'ouest de la rivière Coaticook;
  • Le site du puits P3-82, localisé au bout de la rue Bolduc (derrière le 312, rue Bolduc) et à environ 262 m à l'est de la rivière Coaticook;
  • Le site du puits P5-18, localisé le long du chemin d'accès situé entre les 50 et 56 de la route 147, et à environ 526 m à l'est de la rivière Coaticook. Le puits P5-18 est localisé à environ 75 m au nord-ouest du puits P4-98.
Ces sites sont utilisés pour alimenter la population de la Ville de Coaticook, soit environ 6 700 personnes. Le débit moyen journalier a été évalué à 5 592 m³/jour en considérant la moyenne des 3 mois les plus productifs entre les années 2014 à 2018. Aux sites de prélèvement, l'eau est captée à partir de puits d'alimentation en eau souterraine tubulaire aménagés au droit des dépôts granulaires. Les limites de propriété des sites de prélèvement P2-71 et P3-82 sont clôturées, mais le site de P5-18 demeure à être clôturé. La localisation des sites de prélèvement est présentée aux figures 1 et 2 de l'annexe 1, alors que les renseignements généraux sur les puits sont résumés au tableau 1 ci-dessous.
Puits P1-98
Le puits P1-98 a été construit en 1998 par la Compagnie internationale des eaux du Québec Ltée en remplacement du premier puits P1-46 construit en 1946. Il a été foré à un diamètre de 660 mm (26 po) jusqu'à 3 m de profondeur puis de 610 mm (24 po) de diamètre jusqu'à 47,55 m de profondeur. Une collerette de béton d'un diamètre de 660 m (26 po) est aménagée entre 0 et 3 m de profondeur. Un tubage d'acier de 356 mm (14 po) de diamètre et de 42,06 m de longueur est en place incluant une margelle hors-sol de 1,21 m de hauteur. La crépine de type Johnson a un diamètre de 254 mm (10 po), une longueur de 6,1 m et est de 0,76 mm (30/1000) d'ouverture, autour de laquelle un massif filtrant est aménagé. Le puits a une profondeur totale de 46,9 m une fois construit.
Puits P2-71
Le puits P2-71 a été construit en 1971 par la Compagnie International Water Supply Ltd. Il a été foré à un diamètre de 610 mm (24 po) jusqu'à 47,24 m de profondeur. Un tubage d'acier de 305 mm (12 po) de diamètre et de 40 m de long est en place. Une margelle hors-sol d'environ 0,6 m est aménagée. La crépine de type Cook a un diamètre de 305 mm (12 po), une longueur de 6,1 m et est de 1,27 mm (50/1000) d'ouverture autour de laquelle un massif filtrant est aménagé. Le puits a une profondeur totale d'environ 47 m une fois construit.
Puits P3-82
Le puits P3-82 a été construit en 1982 par la Compagnie internationale des eaux Québec Ltée. Il a été foré à un diamètre de 965 mm (38 po) jusqu'à une profondeur inconnue. Un tubage d'acier extérieur de 610 mm (24 po) de diamètre et de 33,5 m de longueur est en place incluant une margelle de 1,37 m de hauteur par rapport au sol. Un second tubage d'acier (intérieur) de 406 mm (16 po) est installé entre 24,4 et 46,6 m de profondeur sur lequel la crépine est soudée. La crépine de type Johnson a un diamètre de 406 mm (16 po), une longueur de 9,1 m et de 1,27 mm (50/1000) d'ouverture, autour de laquelle un massif filtrant est aménagé. Le puits a une profondeur totale de 55,8m une fois construit. Une incertitude existe quant à l'aménagement de cet ouvrage.
Puits P4-98
Le puits 4/98 a été construit en 1998 par la Compagnie internationale des eaux du Québec Ltée sous la supervision de la firme HGE Hydro Conseil Inc. Il a été foré à un diamètre de 610 mm (24 po) jusqu'à 6 m de profondeur, puis de 559 mm (22 po) jusqu'à une profondeur de 80,8 m. Une collerette de béton de 6 m de longueur a été aménagée dans l'espace annulaire entre les parois du forage de 610 mm (24 po) et du tubage d'acier entre 0 et 6 m de profondeur par rapport au sol. Par la suite, le forage a été continué en un diamètre de 381 mm (15 po) jusqu'à 94,2 m de profondeur. Un tubage d'acier de 406 mm (16 po) de diamètre extérieur et de 80,77 m de longueur est en place avec une margelle de 0,51 m de hauteur par rapport au sol. La crépine télescopique de type Johnson a un diamètre extérieur de 355,6 mm (14 po) et une longueur de 11,9 m. Les ouvertures de la crépine sont de 1,905 mm (75/1000) entre 80,69 et 83,83 m de profondeur, de 3,81 mm (150/1000) entre 83,83 et 90,12 m de profondeur et de 1,27 mm (50/1000) entre 90,12 et 92,62 m de profondeur. Une trappe à sédiments en acier inoxydable du même diamètre que la crépine et de 1,03 m de longueur est installée sous la crépine. Le puits a une profondeur totale de 93,65 m une fois construit. Par contre, ce puits présente une conception inadéquate par rapport à la granulométrie de l'aquifère, ce qui cause son ensablement. C'est pour cette raison qu'il sera éventuellement condamné.
Puits P5-18
Le puits P5-18 a été construit en novembre 2018 par la compagnie Les Forages L.B.M. inc. sous la supervision d'Englobe. Il a été foré à un diamètre nominal de 304,8 mm (12 po) jusqu'à 90,42 m de profondeur. Un tubage d'acier de 304,8 mm (12 po) de diamètre nominal et de 79,91 m de long est en place incluant une margelle de 0,81 m hors-sol. La crépine de type Johnson télescopique en acier inoxydable a un diamètre intérieur de 263,4 mm (10,4 po), une longueur de 11,13 m et de 0,635 mm (25/1000). Le puits a une profondeur totale de 90,37 m une fois construit. Notons que la visite du site montre que l'ensemble des installations actuelles de captage est en bon état. Aucun signe de détérioration ni de problème d'étanchéité n'a été observé. Les pentes des sols autour des puits de captage sont relativement plates et ne semblent pas favoriser du ruissellement vers les puits.
Installation de production d'eau potable
L'usine de traitement et de distribution d'eau potable Marcel-Benoît de la Ville de Coaticook est située au 181, rue Cutting, soit à environ 125 m au nord-ouest du site de prélèvement du puits P2-71.
Voici les étapes successives de traitement appliquées entre le prélèvement et la distribution de l'eau
1- Oxydation de l'arsenic et du manganèse
2- Filtration au sable vert
3- Adoucisseurs
L'eau captée par les puits P2-71, P3-82 et actuellement P4-98 (prochainement P5-18) est tout d'abord acheminée via trois conduites distinctes jusqu'à l'usine de traitement de l'eau Marcel-Benoît. À l'intérieur de l'usine, deux réservoirs d'eau brute d'une capacité de 260 m³
sont présents. L'eau de ces réservoirs est traitée par oxydation de l'arsenic et du manganèse, et filtrée par six filtres au sable vert. Des adoucisseurs sont aussi présents pour diminuer la dureté à un niveau jugé adéquat (entre 80 à 120 mg/L CaCO3). Un système de désinfection est installé en prévention ou pour les besoins futurs, mais n'est pas en opération. Ensuite, l'eau est acheminée vers deux réservoirs d'une capacité de 190 m³ à l'intérieur de l'usine. La capacité maximale du système de traitement est de l'ordre de 12 472 m³/jour.
Par la suite, l'eau traitée est dirigée en partie dans le réseau municipal et vers le réservoir Court d'une capacité approximative de 6 800 m³, situé au 425, rue Court. Celui-ci alimente par gravité, via le réseau, le réservoir McDuffee qui a une capacité de 430 m³, situé au 593, rue McDuffee. Selon les deux réserves minimales d'opération, le volume requis est de 5 398 m³.
Voici la liste des produits chimiques utilisés pour le traitement et qui sont stockés dans l'usine :
  • Chlorure ferrique
  • Permanganate de potassium
  • Hypochlorite en solution
L'usine de production d'eau potable Marcel-Benoît a été mise en service le 16 juillet 2015. Le traitement actuellement réalisé sur l'eau brute est déterminé selon les données d'analyses physicochimiques et microbiologiques mises à jour en novembre 2012. 
Conformément à l'article 53 du RPEP, le niveau de vulnérabilité intrinsèque des eaux souterraines dans chaque aire de protection a été évalué d'élevé, de moyen, ou de faible selon la méthode DRASTIC. Cette évaluation a été réalisée dernièrement (novembre 2019), voir le rapport Englobe, 2019. N/Réf. : 153-B-0020701-1-HD-R-0100-00. Les indices de vulnérabilité intrinsèque DRASTIC de la nappe dans toutes les aires de captage sont évalués entre 47 et 111, soit à des niveaux de vulnérabilité de faible à moyen. Plus précisément, le niveau de vulnérabilité des aires immédiates et intermédiaires des puits P2-71 et P3-82 sont évalués de moyen. Alors que celui des aires de protection du puits P5-18 est faible. Ainsi, pour l'aire d'alimentation commune aux trois puits, le niveau de vulnérabilité de la nappe est considéré de moyen.